- Auteur et comédien -
NICOLAS HIRGAIR
Jurer c'est pécher !
Pierrot Meunier, un cambrioleur amateur, s’introduit par erreur chez monsieur le curé. Surpris en plein méfait, il décide pour se racheter, d’aider le Père Cardwel. Et c'est là que les ennuis commencent : Les bénitiers se transforment en aquarium, l'office du dimanche en "after", la chorale se met aux paillardises et autres facéties du genre. Bref ! Une véritable tornade qui vient chambouler le quotidien de ce petit presbytère.
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« Jurer c’est pécher ! », c’est un peu la rencontre de Don Camillo avec Sister Act. Une rencontre explosive entre deux personnalités que tout oppose : Pierrot Meunier, un cambrioleur maladroit, naïf, victime d’un odieux chantage et Rob Cardwel, le curé d’une église en ruine totalement désertée, harcelé par les promoteurs.
En bon chrétien, le Père Cardwel va venir en aide à son visiteur hors la loi et tenter de le remettre sur le bon chemin. En bon crétin, Pierrot va tout faire pour semer la pagaille dans la communauté.
Un calvaire pour le curé. Du pain béni pour le public.
Note d'intention de l'auteur
Un cambrioleur entre par effraction chez monsieur le curé. Ce dernier, au lieu d’appeler la police, l’invite cordialement à boire un verre. Voilà le genre de situation qui me plaît. Le point de départ pour une comédie à la fois loufoque mais qui laisse place aussi à l’émotion et à l’élégance. Car qu’est-ce qui pousse ce curé à être aussi hospitalité ? Sa religion ou sa solitude ? Et ce cambrioleur, pourquoi ne fuit-il pas sitôt découvert ?
J’aime les rencontres improbables. Les personnages et les situations cocasses, décalés, explosifs. La comédie permet ce genre d’exercice. Mais être drôle sur la forme n’empêche pas une certaine profondeur. En effet, cette histoire est né d’un fait d’actualité : la destruction de notre patrimoine. Un constat intéressant sur l’évolution de notre société. Aucun jugement n’est porté ici. Juste un constat.
Car « Jurer c’est pécher ! » est avant tout une comédie. Elle n’a d’autre ambition que de faire rire. N’y cherchez pas un plaidoyer sur la religion. L’Eglise ne sert ici que de décor. Mon intention est véritablement d’apporter au public un divertissement de qualité, servi par une mise en scène inventive et porté par deux comédiens qui prennent plaisir à jouer et à communiquer leur joie d’être là, avec le public et pour le public.
C’est mon principal objectif. Mon souhait. Ma prière.
Nicolas Hirgair
Presse
Cambrioleur pas très doué, Pierrot s’introduit malencontreusement dans le presbytère du père Cardwell. Surpris par l’occupant des lieux, il propose pour se faire pardonner d’aider celui-ci à faire revenir les ouailles qui ont déserté son église. C'est le début d’une série de catastrophes et de rebondissements. Intrigue habilement ficelée, interprétation complice… Michèle Bourcet - Télérama
« Le presbytère en ébullition. Avec cette pièce de Nicolas Hirgair, les zygomatiques furent mis à rude épreuve dans des situations cocasses où le rire fut assuré non par intermittence mais en continu voire ... plus. Plus de soixante-dix minutes d’une rencontre entre ces personnages explosifs avec un public dont l’intensité des rires a monté crescendo pour se terminer en ovation debout. » Marc Wast - La Nouvelle République
« Au théâtre pour faire une bonne comédie entraînante, il faut beaucoup de boulot... Tout d'abord un texte qui tient la route : merci Nicolas Hirgair ! Une nuit, un cambrioleur plus que maladroit se plante de maison et se retrouve au presbytère. Autant dire qu'il n'y a pas grand chose à voler, mais on y trouve le curé le plus sympathique de France. Il lui offre à boire, une confession, de l'empathie et un asile. Et c'est parti pour le show : digne de certaines scènes de Whoopie Goldberg, le texte est tenu, drôle et on accroche le sourire béat d'un enfant de chœur à nos lèvres avant la fin de la première scène ! Une mise en scène fluide qui jongle avec les règles du Vaudeville, et un rythme qui fait passer le temps à toute vitesse ! Et le jeu, bien évidemment. Des comédiens à la hauteur de leurs personnages, capables de partir en fous rires et de rebondir instantanément ! On s'attache très vite aux deux artistes et on a envie de les retrouver. » Ella L. - Paye ta culture
« L’énergie communicative des comédiens nous emporte avec bonheur dans une atmosphère chaleureuse qui plaît à tous les publics en manque de rires spontanés et surtout de liberté. Détente assurée. » Jean-Philippe Viaud - Télématin France 2